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La voie romaine de Nantes à Saint-Nazaire




Résumé

L'itinéraire le plus direct pour aller de Nantes à Guérande passe par Saint-Nazaire. Cette voie part de l'enceinte fortifiée de Nantes et gravit les coteaux de Misérie par une pente très douce. Ensuite la voie suit le bord du plateau du massif armoricain qu'on appelle Sillon de Bretagne à mis pente (crête militaire) Jusqu'à Saint-Etienne-de-Montluc. A la sortie du bourg, la voie reste à flanc de coteaux pour éviter les profondes vallées qui entaillent le plateau tout en restant à distance des marais et prés inondables qui bordent le fleuve. Aux abords de Savenay, la voie bifurque vers l'Ouest pour rejoindre Saint-Nazaire par une succession de lignes brisées en "sautant" d'île en île pour minimiser les ouvrages.

Introduction

Je n´ai pas trouvé de contribution détaillant la voie complète de Nantes à Saint-Nazaire qui historiquement est plutôt la route de Guérande dont la portion guérandaise a déjà été. Pour cela il m´a fallu regrouper 3 témoignages de membres de laSociété Archéologique et Historique de Nantes dont celui deFrançois Ledoux qui a pris quelques notes de terrain en1878 pour lequel point à point on peut imaginer l´itinéraire. Celui deL.-J.-M. Bizeul en1845, originaire de Blain, le bourg est un ancien emporium gallo-romain,Bizeul y voyait la capitale des Namnètes, et en faisait partir toutes les voies de la région. Celui deLéon Maître le paléographe nantais qui a retrouvé en1893 et1908 dans les textes anciens et les découvertes archéologiques dans Nantes et alentours l´importance du réseau viaire et de l´habitat gallo-romain. Enfin tout récemment par ses prospections, diagnostics et fouilles l'Inrap a fourni son lot d'informations en apportant des réserves ou en confirmant quelques points.

Commune de Nantes

Léon Maître nous a laissé une carte des voies sortant de Nantes et plusieurs textes que je vais suivre [1, p. 523][2, p. 79]. L'axe de ces voies a été en partie conservée jusqu'auXIXe siècle car elles ont été entretenues ponctuellement auMoyen-âge car je citeL. Maître : "l'administration des ducs de Bretagne n'avait pas assez de ressources et assez d'officiers pour percer des routes et établir des chaussées solides".

L'enceinte de la cité deCondevincum avait sensiblement la taille de celle du début du (Voir aussi cet). A l'ouest, la cité était défendue d'abord par l'Erdre qui coulait vers la Loire entre les axes actuels de laRue des Carmes - Rue de La Paix et leBoulevard des 50 Otages. Puis une seconde ligne de défenses était fournie par les marais de laChézine qui coulait dans l'axe de laRue Lamoricière. Et enfin les coteaux abrupts de l'Hermitage ou deMisérie limitait le nombre d'accès par l'Ouest [1, p. 535][2, p. 83].

Du côté Ouest, une seule porte était ouverte dans l'enceinte gallo-romaine au carrefour des rues actuelles de La Marne et deLa Paix. Deux axes antiques en partaient. Le premier allait vers le sud par laRue de La Paix et franchissait par une succession de ponts les différentes îles de laLoire versRezé. D'aprèsL. Maître, il subsistait encore quelques arches de facture romaine en1460 [1, p. 536] quand leGrand Juge de Bohême passa Nantes.

Le second axe que nous allons détailler dans cette page se dirige vers l'Ouest par laRue des Halles qui se trouvait au beau milieu de l'Erdre à l'. Mais le milieu de cette rivière était occupée par une série d'îles qu'il était possible de franchir par des ponts. Passé la rivière, au début de laRue De Feltre se trouvait une bifurcation, à gauche où on pouvait aller àCouëron par la rueDe Feltre pour prendre le bac deLoire ou rejoindre la villa deSaint-Martin-des-Salles [2, p. 83]. A droite on allait àSavenay parSaint-Etienne-de-Montluc ou àVannes par leTemple-de-Bretagne.

Dès qu'on avait passé les zone humide de l'Erdre et deChézine, on pouvait voir à l'époque gallo-romaine plusieurs propriétés agricoles installées sur les pentes orientées au sud en arc de cercle [1, p. 448]. La cité ne s'arrêtait pas à son enceinte, sa "banlieue" participait à la vie économique de la ville.

D'aprèsL. Maître La voie deSavenay est jumelée avec celle deVannes et suit depuis le carrefour de la rueDe Feltre le tracé du tramwayT3, ce qui correspond à l'ancienne rue duMarchix. En haut de cette rue où se trouve la station de tramway Jean Jaurès était un carrefour important [1, p. 533], un embranchement permettait de rejoindre la route deRennes par leGué Moreau, laroute de Vannes continuait vers le Nord etSautron, tandis que notre voie bifurquait vers l'Ouest.

Notre voie rejoint la rue deLa Bastille [2, p. 83] probablement en passant par la placeEdouard Normand (ancienne place Brancas) ou un peu au sud. Elle longe laChézine par sa rive nord en suivant la rueDes Dervalières et la franchit à l'Arche de Grillaud [2, p. 83] qui était une "Barrière" auMoyen-âge [1, p. 533]. Ce passage est cité dans lesLivres de la Chancellerie comme leGrand Chemin sur le Pavé en 1585 [1, p. 535], en1481 comme le "Pavé qui conduit du pressoir Couppegorge à Grisleau" [1, p. 533].

Elle suit ensuite la ruePaul Chabas et arrive au moulin deLa Contrie [2, p. 83]. A ce point je lui fais prendre leBoulevard Jean Ingres qui dessert les terres de la villa dePreux découverte en1979.

Commune de Saint-Herblain

Elle passe près desHaut-Moulins et se dirige sur lesCochardières. A cet endroit lors de fouilles préventives de l'Inrap en2007, la nécropole d'un grand domaine agricole a été découverte, et les vestiges d'une voie romaine qui passe dans l'axe duZénith de Nantes [3].

F. Ledoux a découvert des traces de pavage à 200m avant leMoulin Neuf de la Bretonnière [4, p. 157] mais la localisation de ce moulin est improbable, possible que ce soient les même que celle trouvées par l'Inrap.

L. Maître indique qu'elle passe auxPiliers [2, p. 83], peut-être la rue actuelle dePiliers de la Chauvinière ensuite au niveau duBoulevard Marcel Paul àLa Rousselière [2, p. 83].

Ledoux a découvert des vestiges de pavage près de la métairie deLande Bourne sur laD101 [4, p. 157]. Sur l'ensemble de la commune cette voie porte le nom deGrand Chemin Nantais [2, p. 83].

Commune de Couëron

Depuis la métairie la voie se dirige tout droit sur le nord deLa Montagne en passant près de laCroix-Gicquiau où un parcellaire antique a été mis en évidence par l'Inrap en 2008.

Le vieux chemin indiqué parLedoux [4, p. 157] a été retrouvé par l'Inrap en 2008, il serait d'une facturemédiévale [5]. Mais le granite affleurant sur cette ligne de crête ne permet pas d'infirmer l'hypothèse deLedoux. La voie passerait donc au dessus de l'impasse dePociou [2, p. 83] puis emprunterait la route deSaint-Blais qu'elle suit jusqu'à la chapelle du même nom [4, p. 157], la route actuelle est un peu sinueuse.

Cette chapelle comme la suivante ont été installée au bord des grands chemins pour recevoir la visite des pèlerins [2, p. 83]. Il faut noter que laD101 que nous avons quitté àLande Bourne porte le nom deGrand Chemin Bas de Saint-Etienne à Nantes [6]. Ledoux mentionne que notre voie passe aux Quatre-Chemins [4, p. 157], lieu-dit qui n'apparait pas sur cadastre de1815, probablement l'intersection avec la D61 et la route deSaint-Blais.

Commune de Saint-Étienne-de-Montluc

Notre voie suit sur cette commune la route deSaint-Savin jusqu'à la chapelle du même nom oùLedoux retrouve de faibles traces de la voie [4, p. 157]. La description de Ledoux manquant de détails et étant à rebours de la notre, on ne sait pas si la voie passait tantôt au nord puis au sud.

1200m aprèsSaint-Savin au nord de la voie, sur les hauteurs, ont été trouvées les restes de la villa deMontluc [1, p. 535][7, p. 73].

Ce que nous ditLedoux c'est qu'à 200m du faubourg de laRue Nantaise, à peu près au numéro52 de l'actuelle Rue de La Chézine [4, p. 157], il a identifié des vestiges de la voie dans les terres qui borde la rue à droite de son parcourt, donc au Sud et menant à la place de l'Eglise.

2200m au nord du bourg, sur les hauteurs, ont été trouvées les restes de la villa deBiliais [1, p. 535][7, p. 73].

Entre l'Eglise et la limite de commune, aucune voie n'a été reconnue. Seul le lieu-ditLa Chaussée est révélateur, le cadastre ne signale rien d'autre. A La Censive se trouve une maison seigneuriale duXVe qui serait construite à l'emplacement d'une maison de rapport gallo-romaine, donc à proximité d'une voie [4, p. 156]. Le tracé probable passe donc par les trois points précités.

Commune de Cordemais

Peu d'indication sur cette commune, alors toute le tracé sera basé sur une carte du canton auXIX [8] et le cadastre de 1815.

Entre laChênaie etLa Poirie, un ancien chemin en ligne droite sépare toutes les parcelles sur le cadastre [9].Ledoux croit voir de vestiges près de laNoë [4, p. 156]. Les terres à l'ouest de la ferme deLa Coudre s'appelaientLa Gagnerie des Chaussées sur le cadastre [10], peut-être un carrefour avec un chemin qui monte vers le bourg duTemple.

On peut supposer que leGR3 qui fille tout droit desPrémions auHaut-Gast est un bon candidat, il porte le nom de Haut Chemin de Savenay sur le cadastre [11] et est en partie tracé en rouge sur la carte du canton [8].

AuHaut-Gast, une fontaine visible en1878 signalait la position d'une très ancienne chapelle dédiée àSaint-Julien [4, p. 156]. Peut-être à la croisée d'un autre chemin qui est annoté sur la carte du canton [8]. Le tracé au crayon rouge va duHaut-Gast auPort de Cordemais par laHaie des Bouillons. Ce port est cité dans une charte de1123 [12, p. 120].

Commune de Malville

Un reste de pavage est mentionnée parLedoux à 50m de laChapelle du Goust [4, p. 155].

A 300m au sud de la voie se trouve leChâteau du Goust. Il existait déjà en , et est probablement construit soit à l'emplacement d'une demeure gallo-romaine [4, p. 156] ou d'un retranchement à un endroit où les marais des bords de Loire ont leur plus grande largeur formant ainsi un verrou avec les pentes raides du Sillon de Bretagne.

On peut tracer une ligne droite de la chapelle jusqu'au hameau de laNoë. A l'Est de ce hameau l'Inrap a repéré les traces d'une voie gallo-romaine [13], mais pas de diagnostic.

Commune de Boué

Depuis laNoë en Malville, la voie se continue en ligne droite sur cette commune et passe entre leHaut et leBas Croisât [4, p. 155] oùLedoux a trouvé le même type de pavage qu'à Malville.

Commune de Savenay

En entrant dans la commune, notre voie croise une autre voie juste en dessous de l'Angellerais. Cette voie venait deBlain et allait au bord de la Loire àRohars sur la commune deBoué. Cette voie passe auPoint du Jour sur laRN 165 [14, p. 59][4, p. 153].

Peu après, à 400m à la gauche de la voie, a été découvert parL. Maitre une villa gallo-romaine au hameau deBimboire [2, p. 84].

A quelque centaine de mètres de laGoupillère, un embranchement file tout droit sur le bourg deSavenay où se trouvait lavilla Saviniaca [2, p. 84]. SelonLedoux ce chemin qui porte le nom deChemin Breton rejoindrait àPontchâteau une voie plus directe venant deNantes par leTemple et allant à mais il n'a pas pu la suivre au delà de laHaie-Besné [14, p. 58] sur la commune dePrinquiau.

En dessous laGoupillère,Ledoux a trouvé 100m de pavage, l'Inrap y signale une nécropole duBas-Empire [13], pas plus d'information. Notre voie quitte ici les coteaux et passe dans la plaine en-dessous du village duBrossay où elle a été parfaitement identifiée parBizeul ou confirmé par un cultivateur [15, p. 233,234].

Il y a une imprécision dans le nom du lieu-dit, je propose un passage en-dessous duGrand Brossay. Mais on peut proposer aussi un passage entre lePetit et leGrand-Brossay puis par laMontagne Verte et à la croix en dessous de laGoupillère au bord de laD17.

Elle se dirige ensuite sur l'Abbaye [15, p. 237] en passant sur les terres de laMétairie de la Forêt [15, p. 234] [12, p. 117] et leGoulet de Montève.

Commune de la Chapelle-Launay

La fondation de l'Abbaye de Blanche-Couronne est très ancienne, peut-être antérieure à1160 [15, p. 238]. Son emplacement se justifie au bord d'un grand chemin pour donner l'hospitalité aux pèlerins et voyageurs [15, p. 240]. La voie passe au nord de l'Abbaye le long des bois [2, p. 84] puis rejoint laD771 àVilleneuve.

Commune de Prinquiau

AVilleneuve la voie se confond avec laD771 jusqu'auBois de Sem. La voie franchit deux îles, celle deSem puis duBois de Sem.

Bizeul a identifié 200m d'empierrement romain entre l'embranchement de Malnac et le bois [15, p. 241]. A l'ouest de la ferme duBois de Sem, un retranchement était visible à la borne 44 (en 1840) [15, p. 240] qui pouvait protéger la voie, retranchement signalé aussi parP. De L'Îsle [7, p. 66]. Après l'ile de Sem, la voie n'était plus identifiable déjà l'époque deBizeul, puisque la grande route deSavenay àGuérande fut ouverte1754 [15, p. 243]. Mais un Grand Chemin Public est mentionné en1746 [15, p. 244] confirmant l'ancienneté du passage.

Commune de Donges

L'ile deDonges est orientéeNNW-SSE, la voie la traverse dans sa largeur sans passer par le centre du bourg [15, p. 259]. Comme sur la commune précédente, peu de traces sont visibles déjà en 1840 du fait des travaux entrepris auXVIIIe [15, p. 243]. Selon les dires de Bizeul: "II est à croire que la grande route départementale deSavenay àGuérande a été tracée, au moins dans sa majeure partie, sur la voie antique" [15, p. 258]. Le pont de Sem et la chaussée semble avoir été construit juste à côté de la voie antique et au sud de celle-ci, maisBizeul n'est pas sûr, l'empierrement a peut-être été repris auMoyen-âge [15, p. 260].

Si notre voie se poursuit donc en ligne droite versMontoir,L. Maître soutient l'hypothèse d'un embranchement vers le bord de laLoire par leTertre où on a trouvé les vestiges d'un habitat gallo-romain [12, p. 151], plus loin au sud duTertre la route porte le nom deChaussée de Martigné.

Reprenons notre voie vers l'Ouest: la voie actuelle est en impasse vers une carrière. Tout près d'une croix à la 49e borne (en 1840),Bizeul retrouve un contre-fossé puis la voie elle-même [15, p. 260].L. Maître signale que la voie était visible en 1893 sur l'ensemble de la commune [16, p. 97] sans précision.

En limite de commune au bord de l'étier dePriory, il existait une maison appelée laChaussée. La route qui franchit l'étier s'appelle laChaussée de Nyon et le pont aussi [15, p. 260]. L'origine de ce son nom est antique, on trouve aussi un en France et un en Suisse. D'aprèsL. Maître et analogie avec la ville suisse, c'est une contraction du nomNovio Dunum [17, p. 362]. Et il s'agirait duvicus deSaint-Nazaire où ont été exposées les reliques du Saint. On présentait en général les reliques d'un saint plutôt dans un bourg que dans un hameau, et à la croisée de plusieurs chemins, c'était encore mieux. De là vient le nom de baptême de la ville.

Commune de Montoir-de-Bretagne

Contrairement à la route duXVIIIe qui fait un coude prononcé, la voie romaine se continue dansDrélif puis selonBizeul en ligne droite Vers le bourg deMontoir [15, p. 261]. Je trace donc une ligne au nord de l'actuelleN171 par le sud deLavenac, L'Ormois et lesCaves pour arriver sur l'église deMontoir.

Depuis le centre du bourg deMontoir, la voie bifurque vers le sud-ouest pour passer sur une lande à mi-distance de la Loire et des zones inondables de laBrière. Cette lande se trouve à l'endroit même du vaste golfe qui s'ouvrait jadis entre le fleuve et ce marais [15, p. 264]. Ce qui est sûr, c'est que le golfe avait déjà disparu au moment de la construction de la voie [2, p. 84].

La voie romaine sort du bourg par la rueGeorges Sand au nord de laD971 et la rejoint 2500m plus loin. Sur le cadastre de 1828 [18], elle porte la mentionVieux Grand Chemin. La voie franchit leBrivet à l'emplacement du vieux pont de pierre construit en1856 [16, p. 97]. Il est fait mention d'un pont de bois en1513 [15, p. 264], sans qu'on sache si il en existait déjà un à l'époque gallo-romaine, ou sinon un bac [21, p. 44] ou un gué.L. Maître signale que la voie était visible en 1893 sur l'ensemble de la commune [16, p. 97], sans précision.

Commune de Saint-Nazaire

Passé leBrivet, nous arrivons à une bifurcation [2, p. 84] où les voyageurs pouvait choisir entre prendre leGrand Chemin de par le Petit Savine [21, p. 44] et laMissaudière [19, p. 260] ou aller vers le bourg deSaint-Nazaire. Le tracé vers levicus deNovio Dunum est purement hypothétique, car les bassins et les chantiers navals ont effacé toutes traces. Sur le plan cadastral annoté de 1854 [20], on a tracé une voie toute droite en direction duPrieuré [2, p. 84] de Saint-Jean-Baptiste fondé en1080 [15, p. 270], et certainement construit à la croisée des vieux chemins pour recevoir les pèlerins. Ce tracé est plausible puisque de manière identique àMontoir, la passe qui mettait laBrière en communication avec laLoire au niveau du bassin de Penhoët à Saint Nazaire était déjà colmatée lors de la conquête romaine, c'est là queL. Maître place le port de Corbilo [16, p. 113] concurrent de Massalia disparu auIIe siècle av. J.-C.

Références

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  2. Léon Maître."La Conquête de la Basse-Loire par le réseau des voies romaines" -Bulletin de la Sociéte archéologique de Nantes et du département de la Loire-infèrieure. vol. 49. pp. 69-98. 1908. Document disponible surhttp://gallica.bnf.fr
  3. (2009) Fouille préventive - Les Pellières, ZAC Ar Mor, Saint-Herblain . Institut National de Recherches Archéologiques Préventives. Document disponible surhttp://www.inrap.fr (Consulté le 2/12/2013)
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  9. (1815) Cordemay Cadastre ancien. Fonds d'archives numérisées. Loire-Atlantique. (Cadastre ancien E Chaud (section du) ). Image disponible sur http://www.loire-atlantique.fr (Consulté le 19/11/2013)
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  17. Léon Maître."Question De Géographie Ancienne" - Annales de la Société Académique de Nantes et du département de la Loire-Infèrieure. vol. 1. no. 7. pp. 349-375. 1890. Document disponible surhttp://gallica.bnf.fr
  18. (1828) Montoir-de-Bretagne Cadastre ancien. Fonds d'archives numérisées. Loire-Atlantique. (Cadastre ancien I2 Trignac (section de) 1828). Image disponible sur http://www.loire-atlantique.fr (Consulté le 08/11/2013)
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  20. (1854) Plan cadastral des cantons de Saint-Nazaire et Guérande. Fonds d'archives numérisées. Loire-Atlantique. (s.d. [1854] Guérande Saint-Nazaire 1 Fi Loire-Atlantique 15 / 38). Image disponible sur http://www.loire-atlantique.fr (Consulté le 26/10/2013)
  21. René Kerviler. "Les Venètes, César et Brivates Portus" -Bulletin de la Sociéte archéologique de Nantes et du département de la Loire-infèrieure. vol. 21. pp. 5-46. 1882. Document disponible surhttp://gallica.bnf.fr